1: Phrase cryptique
2: Que veut dire la phrase « On n' aurait pas encore falsifié de théorème majeur avec ces méthodes » à propos des logiques non-standards ?
3: Rien , c' est une faute de frappe ,
4: « On n' aurait pas encore démontré de théorème majeur avec ces méthodes » est la phrase voulue .
5: Merci de la remarque .
6: Je suis désolé , mais je ne comprends pas plus .
7: Je vois pas ce que vient faire ce conditionnel .
8: Est -ce que cela se veut être une affirmation du genre « A ce jour , aucun théorème majeur n' a été démontré en utilisant seulement les techniques de démonstration de l' analyse non-standard » ?
9: NB :
10: j' ai réécrit les phrases qui précédaient .
11: C' est clairement mieux , mais je ne me sentais pas d' être aussi affimatif vu que je n' ai pas regardé ce genre de chose depuis dix ans .
12: Si ta formulation est justifiée par de bonnes sources , elle est clairement meilleure .
13: Hélas , je suis incompétent sur le sujet de l' analyse non standard .
14: Je vais faire un peu de recherche , ce conditionnel est bien génant , et personne n' y comprendra rien en l' état .
15: Période classique
16: Ce n' est qu' un premier jet .
17: Il est quasi caricatural , il n' explique pas la philosophie de Newton et la logique chez les intuitionnistes .
18: Il omet Pascal et Descartes , il n' explique mal le rôle de la logique chez d' Alembert ou Voltaire .
19: Et oublier Spinoza est impardonable .
20: En bref il reste à faire encore beaucoup de travail et si un philosophe peut nous aider , il y aura moins de bétises d' écrites .
21: Une analyse de la logique en philosophie essentiellement fondée sur Vinci Galilée Newton sur la période classique , c' est indigent .
22: Logique contemporaine
23: Je ne suis pas convaincu par cette section , qui me paraît un peut anecdotique et pas assez synthétique .
24: Je trouve en particulier que la phrase sur l' analyse non standard n' a pas sa place dans cette section .
25: Logique moderne
26: Cette section , comme d' ailleurs tout l' article , ne cite pas ses sources et est truffée de commentaires non encyclopédiques .
27: Je cite 2 cas ci-dessous .
28: -
29: Maladie infectieuse
30: On ne nous dit pas quelle est la maladie infectieuse à laquelle Hilbert aurait mis fin .
31: J' ai plutôt l' impression qu' on a confondu Hilbert et Poincaré - Poincaré avait qualifié la théorie des ensembles de " maladie " ( le pauvre , s' il revenait .... ) Mais je laisse , au cas où on voudrait bien mettre une source .
32: -
33: Je ne tiens pas du tout ( cf. ci-dessous ) à défendre l' article , mais je serais curieux de savoir si l' on peut donner une référence de ce propos de Poincaré .
34: Je l' ai déjà vu cité , mais jamais référencé .
35: Les écrits de Poincaré que j' ai lu sur le sujet sont nettement plus mesurés .
36: Bref ça m' intéresserait de savoir d' où ça vient ( même si c' est indirect ) .
37: Par ailleurs Hilbert a pu dire quelque chose de ce genre ( j' essayerai de vérifier ) , mais dans les années 1920 , dans un article où il présente son programme .
38: Ca viendrait du mathématicien anglais Ian Stewart " Poincaré disait que les générations futures considéreront ces théories comme une maladie " ;
39: je viens de voir ça cité par un blog mais j' avais lu auparavant une phrase similaire .
40: J' essayerai de retrouver où .
41: Je tombe là-dessus en cherchant tout autre chose dans l' encyclopédie anglaise :
42: http :
43: Axiomatic set theory why i deleted .22set theory is a disease from which mathematics will one day recover.22 Ca semble possible ( Dans ses écrits Poincaré est assez critique sur ce qu' il appelle le " Cantorisme " , mais s' est intéressé de près aux travaux de Cantor et ne dit pas qu' il faut tout jeter ) .
44: Gödel et Bourbaki
45: Bourbaki ignore Gödel ?
46: Là je sais que c' est faux , j' enlève ce passage .
47: -
48: Dans un cas comme dans l' autre il doit bien exister une référence ou une citation .
49: En particulier , si Bourbaki connaissait Gödel , on doit bien trouver une référence .
50: Bourbaki Eléments de mathématiques Diffusion CCLS 1977 pp. EIV73 à EIV 76 .
51: Il y a notamment un résumé de la démarche suivie par Gödel , un rapprochement avec le théorème du modèle dénombrable de Löwenheim-Skolem et des considérations sur l' Entscheidungsproblem .
52: A noter que Gentzen a réussi à prouver la consistance de l' arithmétique formalisée en utilisant " intuitivement " l' induction transfinie jusqu'à l' ordinal & 206;& 181;o .
53: Bien entendu , cette démarche ne relève pas des " procédés finis " de Hilbert - cadre dans lequel le théorème d' incomplétude s' applique .
54: Je parais un peu pointilleux , mais ne parlons -nous pas de logique ?
55: La « démarche » de Gödel n' est pas le « résultat » .
56: Merci pour l' information vérifiable .
57: Le résultat y est , bien entendu .
58: Dans la page EIV73 , Bourbaki dit , à propos des théorèmes de non-catégoricité : " Le premier en date est dû à K. Gödel ( XLIV a ) qui a montré que , si T est non-contradictoire et si les axiomes de l' arithmétique formalisée sont des théorèmes de T , alors T n' est pas catégorique . L' idée fondamentale de son ingénieuse méthode consiste à établir une correspondance biunivoque - bien entendu , au moyen de procédés finis - entre les énoncés métamathématiques et certaines propositions de l' arithmétique formalisée ; nous nous bornerons à en esquisser les grandes lignes ( .... ) "
59: XLIV a , c' est évidemment Über formal unentscheidbare Sätze der Principia Mathematica und verwandter Systeme , Monatsch für Math u .
60: Phys. ,
61: t . XXXVIII , Kurt Gödel 1931 .
62: Le point culminant se trouve dans les pages 173 à 198 .
63: Je pense qu' il s' agit de la complétude .
64: Pourquoi Bourbaki emploie -t-il le mot catégoricité ?
65: Bourbaki appelle catégorique toute théorie T pour laquelle , si A est une proposition de T ne contenant aucune lettre autre que les constantes de T , soit A soit ¬A est un théorème de T .
66: L' article anglais catégoricité dit ceci :
67: " Oswald Veblen in 1904 defined a theory to be categorical if all of its models are isomorphic . It follows from the definition above and the Löwenheim-Skolem theorem that any first-order theory with a model of infinite cardinality cannot be categorical . One is then immediately led to the more subtle notion of & 206;& 186;-categoricity , which asks : for which cardinals & 206;& 186; is there exactly one model of cardinality & 206;& 186; of the given theory T up to isomorphism ? "
68: Visiblement la notion de catégoricité utilisée par Bourbaki est celle d' Oswald Veblen , car si une théorie n' admet qu' un seul modèle à un isomorphisme près , cela équivaut à dire qu' elle est complète .
69: ça n' équivaut pas :
70: il existe des théories complètes ayant des modèles infinis , et qui ont donc des modèles de cardinalités distinctes .
71: Il y a eu historiquement un certain flottement sur la notion de catégoricité ( y compris chez Gödel ) , le théorème de Löwenheim-Skolem de l' article anglais est le théorème ascendant qui n' est pas de Löwenheim ni Skolem me semble -t-il , je ne sais plus de quand il date .
72: Qu' entendaient -ils par catégoriques à l' époque ? ( aleph 0 -catégoriques ? Etait -ce bien clair pour eux ? ) .
73: En tout cas aujourd'hui il est clair que la notion de catégoricité au sens strict n' a pas d' intérêt .
74: A mon avis le contributeur qui écrivait que Bourbaki ignorait Gödel devait vouloir dire que Bourbaki a fait comme si le programme de Hilbert n' avait pas été remis en cause par Gödel , ça ne peut pas être au sens strict ( les théorèmes de Gödel ont quand même finis par être assez connus ) .
75: Ceci dit je ne défends pas le texte , de toute façon ce genre de chose demande une référence , et puis je ne crois pas que cet article soit amendable .
76: OK je n' ai pas beaucoup réfléchi quand j' ai parlé de la catégoricité .
77: Mais Bourbaki prend bien en compte l' échec du programme de Hilbert , en page EIV75 : " C' est en effet dans la question de la non-contradiction des théories mathématiques ( .... ) que les résultats se sont révélés les plus décevants . ( .... ) ils [ l' école de Hilbert ] croyaient toucher au but et démontrer , non seulement la non-contradiction de formalismes partiels , couvrant une partie de l' arithmétique , mais aussi celle de la théorie des ensembles , lorsque Gödel , s' appuyant sur la non-catégoricité de l' arithmétique , en déduisit l' impossibilité de démontrer par les " procédés finis " de Hilbert , la non-contradiction de toute théorie T contenant cette dernière . "
78: J' ai relu les deux pages où Bourbaki parle du théorème de Gödel , je les ai scannées et je peux vous les envoyer si vous le désirez .
79: Bien sûr , il était faux de dire que « Bourbaki ignorait le théorème de Gödel » , en revanche il est très clair que Bourbaki n' a pas compris la portée de ce théorème ;
80: tout d' abord , il en donne une conséquence très affaiblie , la catégoricité et il se réfère aux « axiomes de l' arithmétique formalisée » sans voir que cela touche toute axiomatisation des entiers , mais surtout il persiste à penser qu' une formalisation des mathématiques ( de la théorie des ensembles comme il l' écrit ) est possible .
81: En conséquence , je pense qu' une histoire de la logique doit évoquer le fait qu' un groupe de mathématiciens attaché au formalisme aient pu ne pas saisir jusqu'en 1970 ( mon édition est de 1970 ) la portée du théorème de Gödel .
82: P.S . Sur la page 75 , la façon dont il parle de la décision ou l' esquive est aussi assez « étonnante » vue d' aujourd'hui .
83: On peut critiquer la terminologie .
84: La définition de la catégoricité par Bourbaki équivaut à celle de la complétude par Tarski :
85: si P est une proposition exprimable dans la théorie , soit P soit ¬P y est démontrable ....
86: Donc une théorie non-catégorique au sens de Bourbaki est une théorie incomplète au sens de Tarski :
87: ni P ni sa négation ne sont prouvables à l' intérieur de la théorie ....
88: -
89: Le théorème de Gödel dit plus que le fait que la théorie des entiers naturels est non catégorique ( ou incomplète au sens de Tarski ) , il dit qu' il existe une proposition Pvraienon démontrable .
90: Clairement ¬P ne sera pas démontrable puisqu' elle est fausse et donc on a évidemment la non catégoricité comme cas particulier facile ( je dirais même un peu dégénéré ) ;
91: mais c' est bien le fait que P ne soit pas démontrable qui est troublant .
92: De plus , si on étend la théorie , il restera toujours une proposition vraie non démontrable .
93: Bourbaki n' a visiblement pas compris ces faits ( sens fort de la complétude , nature intrinsèque du résultat ) , puisqu' il espère une théorie des ensembles complète .
94: Cette foi est répétée à propose du théorème de complétude de Gentzen , page suivante .
95: Bourbaki a bien vu qu' il y a une proposition vraie non démontrable , comme il le note incidemment , mais il n' a pas vu que c' est ça le résultat fort de Gödel .
96: Il n' est pas le seul dans l' erreur .
97: Je suis en train de lire l' autobiographie ( écrite en 1953 ) de Norbert Wiener , ancien élève de Russell , qui lui aussi assimile le théorème de Gödel à la non-catégorité .
98: C' est d' ailleurs ce qui m' a mis la puce à l' oreille et envie d' aller voir le texte de Bourbaki .
99: Bourbaki l' a vu mais ne l' a pas cru , à cause de Gentzen dont la démonstration n' était pas digne de foi , c' est ça ?
100: sourire - Michel 421 18 novembre 2007 à 12 : 56 ( CET )
101: Si je récapitule , Bourbaki dit bien que dans un système duquel on peut déduire l' arithmétique il y a une proposition non démontrable , et sa négation est non-démontrable ;
102: or pour Bourbaki l' une des deux doit être vraie - son système de calcul des propositions est celui de Hilbert-Ackermann duquel on déduit le tiers exclu .
103: Donc Bourbaki croit bien qu' il y a une proposition vraie non démontrable .
104: En quoi n' a t -il pas compris que c' était le résultat fort de Gödel ?
105: Là je ne comprends pas trop
106: Ce qu' écrit Pierre sur Wiener et Bourbaki est très intéressant .
107: L' asymétrie dans le résultat du th .
108: de Gödel est effectivement essentielle , et la formulation ( formule vraie non démontrable ) est très souvent la formulation moderne .
109: Si on ne veut pas parler de " vrai " , on peut dire aussi , en plus lourdingue , que P est une formule universelle non démonrable dont chaque instance ( une pour chaque entier naturel " standard " ) est démontrable dans la théorie de départ T .
110: Cet aspect échappe effectivement a beaucoup de gens qui n' y voient qu' un résultat d' incomplétude ( une formule indécidable ) et s' empressent de comparer celui -ci à l' indécidabilité de l' axiome du choix ou de l' hypothèse du continu .
111: Je suis quand même étonné que Bourbaki ait pu ignorer ( au sens fort , ne pas s' être rendu compte que ) que le th .
112: de Gödel ne s' applique pas à la théorie des ensembles .
113: L' arithmétique formalisée signifie -t-elle pour eux 1er ordre nécessairement ?
114: Le titre de l' article de Gödel parle des principia mathematica ( la théorie des types , plus forte que l' arithmétique ) .
115: Je crois aussi que la date à prendre en référence est celle de première publication .
116: Je lirais volontiers le texte de Bourbaki ( mais je peux aussi facilement me le procurer ) , mais je n' ai malheureusement pas trop de temps actuellement .
117: J' ai Bourbaki et je confirme :
118: ce qu' ils appellent " langage formalisé " est bien un langage du 1er ordre
119: Je vous donne la citation de Wiener ( p. 193 de son autobiographie Ex-prodigy ) .
120: Après avoir expliqué qu' il avait écrit , en 1913 quand il était à Cambridge , un article qui concluait contre le point de vue de Russell que les systèmes logiques doivent par essence être incomplets , il écrit :
121: * Mon hérésie de cette époque a été confirmée par le travail postérieur de Gödel qui a montré que dans n' importe quel système logique il y a des questions qui ne peuvent pas recevoir de réponse positive à partir des postulats .
122: C' est-à-dire que si une réponse est cohérente vis-à-vis des postulats , la réponse opposée est également cohérente vis-à-vis d' eux .
123: N' importe quel système logique il a bien écrit ça ? ?
124: Quand Wiener a fait son autobiographie , Gödel n' avait pas produit que des théorèmes d' incomplétude , aussi des théorèmes de complétude .
125: Je ne suis pas certain de la justesse de la traduction , en anglais il écrit :
126: « within any system of logical postulates » .
127: Critique de l' article
128: J' ai l' impression que l' article est écrit dans une perspective " histoire des fondements de maths " , voire " histoire des maths " , et pas histoire de la logique ( par ex. je ne crois pas qu' Euclide parle vraiment de logique encore moins qu' il l' ait formalisée , les mégariens et les stoïciens méritent mieux ... ) .
129: Il ya des choses sensées ( le calcul infinitésimal ... ) mais dites curieusement , on a l' impression que c' est pour placer le mot logique .
130: Sur Le paragraphe " logique moderne " , de ce que je connais de l' histoire , c' est à peu près n' importe quoi tout du long ( par ex. la chronologie entre les travaux de Cantor et ceux de Hilbert est inversée ! , le paradoxe du menteur date des grecs ... ) .
131: Au XVIII eme Leibniz qui me semble le personnage le plus important sur le sujet ( dont se réclament les fondateurs de la logique moderne ) n' est même pas mentionné comme logicien .
132: A mon avis de Vinci n' a pas grand chose à voir avec l' histoire de la logique .
133: Parler de logique mathématique avant le XXème siècle c' est complètement anachronique ( je ne sais même pas ce que ça veut dire d' ailleurs ) ...
134: Au XIXème , rien sur Boole , Peirce ...
135: Il ne faut pas hésiter à tout reprendre , bien-sûr la critique est plus facile :
136: ça demande du boulot ...
137: mais on peut au moins dire que ça ne parle quasiment pas de l' histoire de la logique ...
138: Tout-à-fait d' accord .
139: Maintenant , peut -on essayer de trouver une ligne directrice ?
140: Y a -t-il des filiations ou tout au moins des fils historiques ?
141: -
142: Tout n' est pas à jeter .
143: D' autre part , le plan qui consiste à considérer les grands courants liés à des bassins géographiques me parait acceptable .
144: C' est peut-être le contenu qui l' est moins .
145: En ce qui concerne , je ne suis pas favorable à une vision gréco-centrée des choses , ce qui est souvent un travers de ce genre d' articles .
146: En gros , on dit « les Grecs ont tout inventé et ils ne communiquait pas avec le reste du monde » .
147: J' y suis peut-être allé un peu fort , je ne dis pas pour le plan ( découpage géographique et chronologique , ceci dit ) , je n' y connais rien du tout pour ce qui est de la logique en chine , en inde et dans le monde islamique .
148: Mais il m' est arrivé d' ouvrir un bouquin d' histoire de la logique ( Kneale and Kneale par ex. ) , et là franchement je ne reconnais pas grand chose .
149: Sur le principe , évidemment que je serais d' accord pour éviter l' occidento-centrage .
150: Le pb est qu' historiquement les contributions les plus notoires ( du point de vue des logiciens ) sont venues des aires hellénique et germanique .
151: Ailleurs c' est très difficile de trouver des références solides .
152: Elles existent sûrement .
153: Peut-être les wikipédiens du secteur histoire-géo-civilisations pourraient donner un coup de main ?
154: -
155: ( Je repositionne les décalages , qui ont été perturbés de ma faute ) .
156: Je dirais qu' il ne faut pas hésiter à tout effacer dans " période classique " ( hors sujet constant ) , et très sérieusement reprendre le reste ( antiquité grecque , moyen âge , logique moderne et contemporaine ) .
157: Fil historique :
158: je crois comprendre que , pour la partie histoire occidentale , l' influence d' Aristote est essentielle jusqu'au XIXeme ( y compris une bonne partie de celui -ci ) , et les rapports avec les démonstrations mathématiques ( qui ne commencent pas à Euclide ) aussi .
159: Maintenant il faut lire et donc du temps pour faire ça sérieusement ( pour moi , vu mes connaissances actuelles , en tout cas ) ...
160: Je signale un autre ( gros ! ) ouvrage de référence , assez connu :
161: William Kneale and Martha Kneale The Development of Logic Oxford University Press ( 1962 , 1984 ) .
162: J' hésite à le mettre tout de suite , vu que le contenu actuel de l' article n' a pas grand rapport .
163: Je veux bien servir de lecteur , mais de contributeur principal .
164: Origine de l' article
165: J' ai fait par hasard un peu d' archéologie wikipédique :
166: cet article est issu d' une discussion tenue ici :
167: Discussion :
168: Nombre réel , ça explique en partie le contenu ( il s' agit plutôt d' une histoire de la rigueur en math ou quelque chose de ce genre ) .
169: Il reste que ça ne correspond pas au titre ni à la bibliographie ajoutée depuis .
170: de plus même dans cette perspective , c' est moins aberrant mais contestable .
171: Boole , de Morgan , Karnaugh , Jevons , ...
172: Boole , de Morgan , Karnaugh , Jevons , ...
173: Il en manque .
174: En effet il n' y a rien sur ces personnes précurseuses du calcul propositionnel ( Frege et Russell c' est plutôt le calcul des prédicats . ) Donc si vous connaissez , allez -y ( comme dans l' article logique ) !
175: L' article est de manière générale très insuffisant et les bonnes volontés sont les biens venues .
176: Cordialement .
177: Rem , il y a un Projet :
178: Logique à revivifier .
179: --